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7 avril 2009 2 07 /04 /avril /2009 06:16

Union de projet bancaire suisse

 

Avril 2009


L’Union de banques suisses et le Crédit suisse (UBS et CS) ont décidé d’investir dans un immense projet contesté, minier au Bangladesh.

Pour se consacrer pleinement à leur projet, quelques 200,000 personnes devront sacrifier leurs habitations et leurs terres.

Il s'agit d'un projet industriel, l'exploitation d'une mine de charbon à ciel ouvert, dont la démesure aura des conséquences sociales et écologiques imposantes, à Phulbari au Bangladesh.

Ledit projet est piloté par GCM Resources, une société d'investissements britannique qui opère au Bangladesh sous le nom d'Asia Energy et dans laquelle l’UBS et le CS possèderaient les parts suivantes :

USB : 11,6% du capital (2ème actionnaire principal)
CS : 3,66%.

 

  Informations complémentaires :

Déclaration de Bern, http://www.evb.ch/fr/p25013569.html

http://www.lesfinances.ch/2009/304/le-titre-ubs-prend-de-laltitude/

 

___________________

Mise en garde pour UBS et Credit Suisse: la banque asiatique de développement abandonne un projet à haut risque


Lausanne, 7 avril 2008

La Banque asiatique de développement (BAD) a refusé de soutenir le projet controversé d'une mine de charbon à ciel ouvert à Phulbari, au Bangladesh. Un tel geste démontre à quel point ce projet de la société britannique GCM Resources ne respecte pas les normes écologiques et sociales. Les banques suisses, dont UBS et Credit Suisse, doivent elles aussi immédiatement prendre leurs distances avec cette entreprise.

Lire la suite sur http://www.evb.ch/fr/p25013914.html

 

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 00:43

CSF

ex FORUM DE STABILITÉ FINANCIÈRE (Financial Stability Board)

 

Siège

Bâle en Suisse

 

Président

Mario Draghi

Depuis le 16 janvier 2006 Mario Draghi est le gouverneur de la Banque d'Italie, nommé par le Président du conseil le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, avec un mandat renouvelable de six ans (auparavant le mandat était à vie). Il remplace Antonio Fazio, démissionnaire à cause de son implication dans un affaire de conflit d'intérêts. En tant que gouverneur de la Banque d'Italie, il se retrouve aussi Membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne.

Il a fait ses études à Rome chez les Jésuites. Licencié en économie et commerce à l'université de Rome « La Sapienza » en 1970, PhD en économie au Massachusetts Institute of Technology en 1976. Professeur universitaire à Florence et à Turin, il a été de 1991 à 2001 directeur général du Ministère du Trésor, chargé des privatisations. De 1993 à 2001 il a présidé le Comité pour les privatisations. A ce titre, il a été membre du conseil d'administrations de plusieurs banques et sociétés en phase de privatisation (Eni, IRI, Banca Nazionale del Lavoro-BNL et IMI). De 2002 à 2005 il est le Vice-Président pour l'Europe de Goldman Sachs, la quatrième banque d'affaires mondiale.

 

null  du Forum

Le Forum de Stabilité financière internationale (FSF) a été créé en février 1999 à l’initiative des ministres
des finances et des gouverneurs des banques centrales des pays du G7. C’est le résultat d’une réflexion
menée à la suite des perturbations financières survenues en 1997 et 1998, ces dernières ayant montré
l’utilité, pour les différentes autorités financières des grands pays et les principales institutions financières
internationales, compte tenu de l’intégration croissante des systèmes financiers, de croiser leurs analyses et
de s’assurer qu’aucun aspect de la stabilité financière n’échappe à leur vigilance.


Rassemblant les autorités monétaires et financières, les superviseurs et les régulateurs des grandes places financières, ainsi que diverses institutions ou organisations internationales, le Forum représente une instance de coopération et de discussion unique, qui a pour mission d’apprécier les facteurs conjoncturels et structurels de vulnérabilité et les dynamiques du système financier mondial, en vue d’identifier et de coordonner les actions à entreprendre pour répondre aux enjeux majeurs.


Le Forum vise à coordonner les efforts de ses différents membres afin de promouvoir la stabilité financière internationale, d’améliorer le fonctionnement des marchés et de réduire les risques systémiques. Le Forum a ainsi été amené à formuler des recommandations sur différents aspects essentiels au maintien de la stabilité financière internationale (liste des codes et standards internationaux, liste des centres « offshore » selon la qualité de supervision, gestion des crises, risque financier systémique posé par les hedge funds, etc.).

Suite à la réunion du G20 à Londres les 1er et 2 avril 2009, le FSF change de dénomination pour Conseil de Stabilité Financière (CSF) ou http://www.financialstabilityboard.org/

Voir également lien :  Le temps des règlements

 

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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 00:21

Le catalogue établi par le G20 promet beaucoup de travail pour les gendarmes des banques

Extrait du journal Le Temps (Suisse), par Yves Genier

4 avril 2009

"La réunion du G20 de novembre 2008 à Washington avait promis un durcissement de la réglementation financière. Celle de Londres avant-hier a démontré que cette intention n’est pas restée vaine. Etabli principalement par le Forum de la stabilité financière (FSF), présidé par l’Italien Mario Draghi, et par l’Organisation internationale des commissions de valeurs (IOSCO), le catalogue des nouvelles règles promet beaucoup de travail pour les policiers de la finance. Il sera principalement attribué au nouveau Conseil de la stabilité financière (FSB, Financial Stability Board) qui doit remplacer le FSF.

Tout n’a cependant pas pu être mis sous toit en six mois, bien que les réflexions soient vieilles parfois de plusieurs années. Au-delà des principes généraux, un gigantesque travail reste à accomplir pour transformer les intentions en règles précises et contraignantes.

Les principales pistes sont les suivantes : 

Le renforcement annoncé des réserves obligatoires des institutions financières est non seulement confirmé, mais il se voit complété d’une batterie de dispositions.

Les réserves seront adaptées aux cycles économiques. Lorsque ces derniers seront en hausse, les fonds propres devront l’être aussi. Le coussin de sécurité sera ainsi plus épais lors des phases de crise et pourront mieux faire face aux pertes. Contrairement à la Finma helvétique, qui a déjà quantifié ses exigences envers les grandes banques, le FSF promet qu’«un paquet de mesures intégrées sera soumis à consultation avant la fin 2009».

Les banques se verront aussi fixer un plafond d’endettement au-delà duquel elles ne pourront pas aller pendant les périodes de croissance. Le moyen d’y parvenir sera la fixation par l’autorité de surveillance d’un plancher de fonds propres non corrélé au risque.

Les systèmes d’évaluation des engagements et des risques de contrepartie seront aussi renforcés. Les dérivés de crédit sont déjà concentrés dans une chambre de compensation depuis l’hiver dernier. Le reste en est au stade des projets."


Source :

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/864359ce-2090-11de-ab92-b38b5a1511e8/La_réglementation_financière_va_devenir_plus_sévère

 

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Forum de Stabilité Financière basé en Suisse à Bâle :

http://www.fsforum.org/

Ex CSF

 

Liste des membres :

http://www.fsforum.org/members/links.htm 

iosco : Organisme qui travaille en faveur d'une coopération entre les marchés boursiers et une harmonisation des pratiques comptables

http://www.iosco.org


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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 00:04

Règles mondiales, Gouvernance mondiale, Monnaie mondiale

Extrait du Journal Le Monde du 3 avril 2009


Même si l'accouchement se révèle douloureux, c'est bel et bien un nouveau monde qui émerge à Londres sous nos yeux. Un monde moins anglo-saxon et moins libéral. Vingt ans après la chute du mur de Berlin, dix ans après l'échec de la conférence de Seattle sur la libéralisation du commerce, un nouvel équilibre semble se dessiner, tant sur le plan politique que sur le plan économique, d'ailleurs liés comme rarement.

Au niveau politique, les rencontres entre Barack Obama et ses homologues russe et chinois le rappellent : les Etats-Unis, première puissance militaire de la planète, restent le centre de gravité politique. Mais, de Téhéran à Kaboul en passant par Pyongyang, tout l'atteste : Washington, même dans le cadre de l'OTAN, est incapable de résoudre seul les conflits qui secouent la planète. A la différence de son prédécesseur, Barack Obama l'assume.

Il en va de même sur le plan économique et monétaire. Certes, le capitalisme reste un horizon indépassable. Mais économie libérale ne signifie plus que tout est marchand. Surtout, ce marché a besoin d'être régulé. C'est en cela que le capitalisme débridé a peut-être vécu. Ironie : c'est à Washington (en novembre 2008) et à Londres que se referme la parenthèse ultralibérale ouverte il y a une vingtaine d'années par Ronald Reagan et Margaret Thatcher. Le capitalisme a besoin d'Etats forts, capables, financièrement et juridiquement, d'imposer leurs règles. Et, comme le passé a prouvé que le chacun-pour-soi n'était pas la solution, ces règles doivent en partie êtres communes.

D'où le renforcement du discret Forum de stabilité financière, appelé, dix ans après sa création, à jouer le rôle de tour de contrôle mondiale des marchés financiers. Mais qui dit règles mondiales dit gouvernance mondiale (d'où le G20) et à terme monnaie mondiale, comme l'illustre le débat sur la fin du roi dollar. La devise américaine reste la référence, mais sa suprématie est contestée, notamment - et ce n'est pas un hasard - par la Chine et la Russie. Demain, quelle que soit la forme retenue, l'euro, le yuan et sans doute le yen joueront un rôle accru, ne serait-ce que parce que l'Union européenne, la Chine et le Japon seront de plus en plus souvent appelés à la rescousse pour aider les pays en difficulté. D'où le renforcement du FMI et la réforme de sa gouvernance. En ouvrant ces dossiers, le G20 a réussi un paradoxe : commencer à élaborer les fondations du monde de demain avant même d'avoir éteint l'incendie qui fait rage.

http://www.lemonde.fr/opinions/article/2009/04/02/g20-fondateur_1175715_3232.html


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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 07:33

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2 avril 2009

A l'issue du G20 de Londres, le Premier ministre britannique, Gordon Brown affimait que d'ici à fin 2010, quelques milliards de dollars seront injectés dans l'économie. Il a également salué l'avènement de ce nouvel élan.

 

 

 

Le monde franchit le cap "historique" du milliard de personnes affamées

 

 

Le programme alimentaire des Nations Unies

Le programme de la banque mondiale 





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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 05:01

Un correspondant... le temps d'un instant

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Opinion sur les réformes du Président Nicolas Sarkozy

Blog de Sylvain Besson, correspondant en France du Journal Le Temps (CH)

 

Extrait

13 mars 2009

Les réformes pipeau de Sarkozy

C'est peut-être le livre le plus dévastateur publié sur Nicolas Sarkozy depuis son élection. Les réformes ratées du président Sarkozy (Flammarion), paru cette semaine, est une enquête due à deux économistes, Pierre Cahuc et André Zylberberg. Leur constat est d'autant corrosif qu'ils ne sont pas étiquetés à gauche - Pierre Cahuc, qui enseigne à l'école Polytechnique, est même plutôt libéral.

Que disent-ils? Que les réformes mises en oeuvre depuis deux ans sont pires que le statu quo. L'abolition des régimes spéciaux de retraites à la SNCF coûtera plus cher que leur maintien en l'état. La réforme du droit du travail ajoute de la complexité à une matière qui l'était déjà trop. L'ouverture à la concurrence de la grande distribution a été vidée de sa substance par les grandes enseignes. Et la soi-disant réforme de la représentativité syndicale consolidera simplement l'emprise des bureaucrates de la CGT et de la CFDT, grognons et peu représentatifs.

La question intéressante est de savoir si Nicolas Sarkozy est au courant de tout cela. A-t-il sciemment laissé ses réformes être dénaturées, pour afficher des succès de façade? Ou croit-il sincèrement qu'elles sont de grandes réussites, parce qu'il ne s'occupe pas des détails et que personne autour de lui n'ose lui dire le contraire? Il faudrait être dans sa tête pour savoir, mais on aimerait en avoir le coeur net.

Autre exemple de réforme pipeau: le bouclier fiscal, qui limite les prélèvements à 50% du revenu au maximum. Il s'agissait notamment de faire revenir les grandes fortunes expatriées à l'étranger. Or, explique un spécialiste de la gestion de fortune dans une grande banque parisienne, presque personne n'est revenu. Même pas Johnny Hallyday, qui avait juré de le faire si "Nicolas" était élu.

L'explication est simple, nous dit le banquier: "Demander à bénéficier du bouclier, c'est la garantie d'être soumis à un examen approfondi par l'administration fiscale." Et donc risquer une lourde amende, si par hasard on a omis de déclarer ses revenus dans les formes. En France, le gouffre entre les annonces et la réalité est plus béant que jamais. »

http://letemps.blogs.com/paris/2009/03/les-réformes-pipeau-de-sarkozy.html

 

 Sylvain Besson à l'ouvrage

 Le secret bancaire, publié aux éditions Presses polytechniques romandes en 2004.

L’argent secret des paradis fiscaux, paru aux éditions du Seuil en 2002.


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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 23:23

Les trésors des souverains

 2 avril 2009


Liste publiée par l'OCDE, à la demande du G20, «des paradis fiscaux qui ne sont pas en conformité avec les règles mondiales d'échange d'informations fiscales».
 
Liste blanche : (Etats ou territoires qui ont mis en œuvre des standards internationaux en signant au moins 12 accords conformes à ces standards) 

Argentine, Australie, Barbades, Canada, Chine(*), Chypre, République tchèque, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Guernesey, Hongrie, Islande, Irlande ile de mans Italie, Japon, Jersey, Corée, Malte, ile Maurice, Mexique, Hollande, Nouvelle Zélande, Norvège, Pologne Portugal, Russie, les Seychelles, la Slovaquie, Afrique du sud, l'Espagne, la Suède, la Turquie, les Emirats arabes unis, royaume uni, Etats-Unis, les iles Vierge

Liste grise : états ou territoires qui se sont engagés à respecter les standards internationaux mais ont à ce jour signés moins de douze accords 

Liste gris foncé (paradis fiscaux déjà identifiés en 2000 par l'OCDE) : 
Andorre, Anguilla Antigua, Barabade, Aruba, Bahamas, Bahrein, Belize, les Bermudes, les iles vierges anglaises, les iles Cayman, les iles Cook, la Dominique, Gibraltar, Grenade, Liberia, le Liechtenstein, les Iles marshall, Monaco, Montserrat, Nauru, les Antilles néérlandaises, Niue, Panama, St Kitts and Nevis, Sainte Lucie, Saint Vincent et Grenadine, Samoa, San Marin, les iles Turks and Caicos, Vanuatu

Liste gris clair (autres centres financiers) : 
Autriche, Belgique, Brunei, Chili, Guatemala, Luxembourg, Singapour, Suisse

Liste noire (Etats ou territoires qui ne se sont pas engagés à respecter les standards internationaux) : 
Costa Rica, Malaisie (Labuan), Philippines, Uruguay

(*) Macao et Hong Kong territoires chinois, ont pris l'engagement en 2009 de se conformer aux standards internationaux, en conséquence ces deux territoires ne sont plus mentionnés dans la liste grise


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Paradis fiscal :

Il désigne tout pays dont la fiscalité apparaît comme avantageuse par rapport à une «normale» toute relative. Ainsi, l'Irlande, dont l'imposition est particulièrement basse, attire de nombreuses entreprises qui y gèrent leurs trésoreries (cela pouvant être légal si c'est accompagné d'une délocalisation des activités ou illégal dans le cas inverse). On parle également de «pays à fiscalité privilégiée». Les paradis fiscaux - au sens où on l'entend généralement dans la presse - combinent cette fiscalité avantageuse au secret bancaire (on parle alors de paradis bancaires) et à l'absence de coopération judiciaire avec les autorités étrangères (paradis judiciaires).

Qui a recours aux paradis fiscaux ?

Selon Vincent Drezet, secrétaire national du Syndicat national unifié des impôts, «tous les fonds spéculatifs y ont recours». «Ils constituent une soupape de sécurité au système financier international en permettant de maximiser les profits des entreprises». Problème: ils faussent la concurrence et concentrent l'argent là, où il n'existe aucun besoin économique réel. «Globalement, les PME et les PMI n'y ont pas recours car les sommes en jeu ne sont pas assez importantes».

Le secret bancaire attire également l'argent sale de toutes origines (corruption, prostitution, drogue…) et permet de le blanchir. Il incite également à l'évasion fiscale des particuliers. Exemple: une personne vend un immeuble et réclame 10% de la somme en liquide. Cette somme ne sera pas soumise à l'impôt sur les plus-values et pourra être fructifiée au Liechtenstein par exemple, en franchise d'impôt. Ne pas confondre évasion fiscale et délocalisation fiscale qui correspond au fait de vivre réellement plus de 181 jours par an dans un pays étranger pour y bénéficier d'un niveau d'imposition moins fort.

Comment fait-on pour ouvrir un compte dans un paradis fiscal ?

Les procédés sont très nombreux et complexes (sociétés écrans, chambres de compensation...). «Mais la règle générale est d'ouvrir une entité juridique, une fondation, qui est gérée par un mandataire, en général un juriste, pour le compte d'un bénéficiaire inconnu», explique Vincent Drezet. Il est aussi possible de venir directement avec ses valises de billets. «Mais, prévient Jean-Yves Mercier, avocat fiscaliste associé chez CMS Bureau Francis Lefebvre, si vous arrivez au Liechtenstein avec 100.000 euros seulement, le banquier risque de vous rire au nez!». Pour les petits patrimoines, de nombreux montages financiers permettent de bénéficier d'avantages fiscaux en France même (assurances-vie…).

Est-ce qu'épargner à l'étranger est interdit pour un particulier ?

Non, mais le compte doit être déclaré à l'administration française ainsi que ce qui l'alimente au cours de l'année. Chaque Français est imposable sur ses revenus mondiaux sauf en cas de conventions bilatérales qui précisent le contraire. Il y a donc peu d'intérêt à épargner à l'étranger si ce n'est pas pour vouloir échapper à l'ISF ou dissimuler de l'argent. Exception notable dans l'UE: les produits de l'épargne ne sont taxés que de 15% en Belgique, au Luxembourg et en Autriche (35% d'ici 2010). Une bonne raison donc d'y placer son argent.

Mais combien de milliards cela représente t’il ?

Difficile, environ des centaines de millions de dollars de part le monde dont la plupart sont déjà utilisés pour des programmes encore  occultes à ce jour.


En juillet 2009, l'OCDE retire Le Liberia des paradis fiscaux


 

 





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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 07:15

En Suisse, un million volé aux cancéreux

Avril 2009

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Une enquête pénale a été ouverte à la suite de suspicions de détournements de fonds au sein d’une association caritative pour enfants cancéreux localisée en Suisse.

La police soupçonne son président, Gérard Choukroun, d’avoir puisé plus d’un million de francs suisses (656,000 euros) dans la caisse.

L’Association romande des familles d’enfants cancéreux, l’ARFEC-APG, basée à Genève, ne fonctionnait plus et a été dissoute en automne 2008. 

L’examen rétroactif des comptes a révélé le détournement. 

Le président, qui semble aujourd'hui vivre en Tunisie, s’activerait dans l’organisation de concerts. 

 
Il ne répond plus aux convocations de son association. Une plainte civile ainsi qu'une plainte pénale ont été déposées.

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=500003&ne_id=10553634  

L'ARC

En France, Jacques Crozemarie, fondateur de l'Association pour la recherche sur le cancer (ARC) et condamné en 2000 pour abus de confiance et recel d'abus de biens sociaux, est décédé en décembre 2006 à l'âge de 81 ans.

33 mois de détention

Né le 7 octobre 1925 à Paris, Jacques Crozemarie, ingénieur, avait fondé l'ARC en 1962. En 1991, un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) avait dénoncé les énormes dépenses de fonctionnement de l'ARC et l'utilisation des sommes versées par
3,5 millions de donateurs. 

Ce scandale s'était terminé par la condamnation de Jacques Crozemarie, le 30 juin 2000, à quatre ans d'emprisonnement pour abus de confiance et recel d'abus de biens sociaux. Après 33 mois de détention, dont six mois avant sa condamnation définitive, il avait été libéré le 11 octobre 2002 en bénéficiant des remises de peines et des grâces présidentielles.


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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 00:55

Le G-20 aura lieu à Londres le 2 avril 2009

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Selon le Directeur général du FMI, Dominique Strauss-Khan, l'urgence est désormais de nettoyer le système financier et de recapitaliser les banques.



À quelques jours du G20 de Londres, le Directeur général du FMI met en garde contre toute attente excessive. Il ne faut pas attendre « grand chose de nouveau » du sommet du 2 avril, explique Dominique Strauss-Khan, qui anticipe un communiqué final « pas très différent » de celui rédigé par les ministres des Finances du G20 à Rome. L'enjeu est surtout « un engagement ferme des chefs d'État et de gouvernement » à mettre en oeuvre les orientations recommandées. 

Faire davantage en 2010 

Invité au G20 de Londres, Dominique Strauss-Khan entend insister sur la nécessité de nettoyer au plus vite les comptes des banques. « On peut injecter autant d'argent que l'on veut dans les économies, cela ne donnera rien aussi longtemps que le secteur financier n'aura pas été assaini. » Selon lui, « un dollar utilisé pour nettoyer les bilans des banques est aujourd'hui beaucoup plus efficace qu'un dollar investi dans la construction de nouveaux ponts ». Le FMI chiffre à 2.200 milliards de dollars les pertes potentielles pour les banques liées à la crise des subprimes.  Mais, en janvier, les banques n'avaient reconnu que 792 milliards de dollars de pertes et provisions. Elles n'avaient en outre levé que 826 milliards de dollars, dont 380 milliards sous forme d'aide d'État. Si les grandes économies se sont engagées à injecter l'équivalent de deux points de PIB dans l'économie mondiale en 2009, elles doivent se « préparer à faire davantage en 2010 si cela est nécessaire », estime le patron du Fonds. Il plaidera également pour un doublement rapide des ressources du Fonds. Les flux de capitaux vers les pays émergents devraient en effet passer de 466 milliards de dollars en 2008 à 165 milliards seulement en 2009, selon l'Institute of international finance. Dominique Strauss- Khan estime également qu'il faut accélérer la réforme des quotas du FMI afin d'assurer une meilleure représentation des grands pays émergents.

 

Le blog de Dominique Strauss-Kahn,  http://www.blogdsk.net/n 

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 22:19
Invasion américaine en Iraq dite "Operation Iraqi Freedom" ...
20 mars 2003  


 

 

 

 

  





 

 

 

 

 

 

 

 

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Estimations des coûts :

2004 : 77,3 milliards de dollars
2005 : 87,3 milliards de dollars
2006 : 100,4 milliards de dollars

Estimation des pertes humaines américaines (selon les Etats-Unis) :

5,000 morts.

Estimation des pertes humaines iraquiennes (selon l'ONU) :

150,000 morts.

Troupes américaines en Iraq : 150.000 soldats.

Presque 2,5 millions d'Irakiens ont fui leur pays. Séquelles émotionnelles et physiques.

Des millions de manifestants ont exprimé dans multiples pays, un désaccord total avec la décision de leur gouvernement respectif, de s'unir aux troupes américaines pour une intervention en Iraq.

Y compris en Russie, en Angleterre, en Italie, en Espagne.

 

 

Poutine

 

 

 

 

Blair

 

 

 

 

Berlusconi

 

 

 

 

Aznar

 

 

 

 

La France (sous la présidence de J. Chirac) n'a pas offert son aval à cette guerre.

 

Composition du gouvernement exposé sous la présidence du Président Georges W. Bush au 19 janvier 2009

Vice-président Dick Cheney 2001-2009

Secrétaire d'État Colin L. Powell 2001-2005
Condoleezza Rice 2005-2009
Secrétaire à la Défense Donald H. Rumsfeld 2001-2006
Robert Gates 2006-2009
Secrétaire au Trésor Paul H. O'Neill 2001-2003
John W. Snow 2003-2006
 Henry Paulson 2006-2009
Attorney General John D. Ashcroft 2001-2005
 Alberto R. Gonzales 2005-2007
 Michael B. Mukasey 2007-2009
Secrétaire à l'Intérieur Gale A. Norton 2001-2006
Dirk Kempthorne 2006-2009
Secrétaire à l'Agriculture Ann M. Veneman 2001-2005
Mike Johanns 2005-2009
Secrétaire au Commerce Donald L. Evans 2001-2005
Carlos M. Gutierrez 2005-2009
Secrétaire au Travail Elaine L. Chao 2001-2009
Secrétaire à la Santé Tommy Thompson 2001-2005
 Michael O. Leavitt 2005-2009
Secrétaire au Logement et au Développement urbain Mel Martinez 2001-2003
Alphonso R. Jackson 2004-2009
Secrétaire aux Transports Norman Y. Mineta 2 2001-2006
Mary Peters 2006-2009
Secrétaire à l'Énergie Spencer Abraham 2001-2005
 Samuel W. Bodman 2005-2009
Secrétaire à l'Éducation Rod Paige 2001-2005
 Margaret Spellings 2005-2009
Secrétaire aux Anciens combattants Anthony J. Principi 2001-2005
Jim Nicholson 2005-2009
Secrétaire à la Sécurité intérieure Tom Ridge 2003-2005
Michael Chertoff 2005-2009

 

 

 

Des mots ...

 "Les missiles vont tomber que Bagdad accepte ou non le retour des inspecteurs." -Donald Rumsfeld, 16 mai 2002.

 

"Nous allons gérer le business du pétrole. Nous allons bien le gérer, nous allons faire de l'argent; et ça paiera la reconstruction de l'Irak car il y a de l'argent là." - Richard Lugar, Sénateur US républicain
1er août 2002 / Hearing 31 juillet-1er août 2002, US Senate Foreign relations Committee.

 

"Avec une bonne dose de peur et de violence, et beaucoup d'argent pour les projets, je pense que nous arriverons à convaincre ces gens que nous sommes là pour les aider." Colonel Nathan Sassaman, Commandant de bataillon de l’U.S. Army en Irak,  7 décembre 2003, New York Times

 

"Nous allons devoir franchir des étapes militaires très, très brutales pour traiter avec ces gens. Nous allons devoir peut-être utiliser plus que des armes non conventionnelles contre ces gens. Vous savez, c'est comme si vous voulez vous débarrasser de vos cafards avec de l'insecticide. Ce n'est pas assez fort. Vous n'allez même pas appeler le dératiseur pour vous en débarrasser... Avec ces terroristes qui sont vraiment partout dans ce pays, il faudra recourir à une force massive, vraiment massive pour traiter ce problème, où que soient ces gens.", Rush Limbaugh, proche conseiller de Bush, 28 octobre 2004.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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